Les chrétiens du Cameroun aiment véritablement adorer leur Seigneur .Ils aiment l’adorer dans leurs chapelles , face contre terre, ou le louer dans leurs églises ,de tout cœur et de toutes voix en reconnaissant sa majesté . Mais ils ne s’arrêtent pas aux bâtiments, ils aiment se retrouver ensemble , sans subdivision et sans étiquettes , pour élever le nom de JESUS. Ceci se fait généralement dans des concerts , ou autres événements ayant pour objectif d’emmener le peuple à être connecté à DIEU .
Pour ce faire , on retrouve généralement deux types d’événements: ceux avec pour chantres mis en avant des artistes locaux et ceux avec des internationaux invités au pays .

Les événements où sont mis en avant les chantres locaux sont généralement (à quelques exceptions près) organisés par des jeunes d’église ou de jeunes organisateurs qui se battent avec de petits moyens pour essayer de promouvoir des soirées de louange et participer aussi à faire écouter et éclore des chantres du terroir .Malheureusement avec les faibles moyens mis en jeu , très peu sortent du lot et ont une visibilité et une reconnaissance nationale ( bien évidemment cela ne rabaisse en aucun cas la qualité tant technique que spirituelle de ce qui est fait et qui doit être encouragé).Nous tenons à apprécier dans ce sens des événements comme le « concert de l’unité« , « Makan » , »made in gospel » et « 5h de louange » qui essayent de réunir des chantres d’horizons divers afin de glorifier le nom de JESUS. Nous sommes quand même surpris du manque d’implication du Corps de Christ au Cameroun ( les promoteurs, les sponsors, les ecclésiastiques, etc) qui ne semblent pas du tout intéressés par les événements locaux et se déploient très peu pour soutenir la musique gospel et les événements liés aux chantres locaux . La plupart des chantres travaillent en autoproduction et donnent tout ce qu’ils ont pour produire des titres et organiser des événements pour faire connaitre ces œuvres .Mais vu le faible soutien, ils se retrouvent entrain de laisser tomber et soupirer après un envoyé de DIEU qui changera les choses dans la nation. Ceci créé une faible représentativité du gospel Camerounais en Afrique et une très faible reconnaissance de ces acteurs. Très peu se lèvent pour s’investir et permettre à nos chantres de donner le meilleur de ce que DIEU a mis en eux et déverser un impact céleste dans la nation au travers d’événements bien structurés et organisés .

EN ce qui concerne les événements avec des chantres internationaux mis en avant , cela fait des dizaines d’années que le Cameroun accueille des chantres qui sont des bénédictions dans le monde entier. Du groupe Gael à Don Moen , Onel Mala , Sinach, Ada, Exo eclat, Jean Jean, Piero Battery, Ron Kenoly et bien d’autres ont eu à fouler le sol Camerounais et à déclarer des paroles prophétiques sur notre cher pays .Récemment le rappeur gospel KS Bloom a eu un événement controversé au Cameroun ce qui nous a emmène à avoir un regard critique sur ces événements internationaux .Nous réalisons que depuis quelques années on y voit beaucoup de déboires qui entachent l’image du gospel Camerounais et nous donne une mauvaise image et forcément une mauvaise réputation .Nous le disons fermement: IL FAUT QUE CA CHANGE !On devrait pouvoir contrôler l’organisation de ces événements .Quelques artistes ce sont levés pour s’indigner et orienter sur d’éventuelles solutions. Voici quelques morceaux choisis des réflexions et propositions de deux acteurs du gospel Camerounais .

Le chantre Guy Michel Kingue a organisé une conférence de presse quelques jours après l’échec cuisant et retentissant de ce concert avec KS Bloom et voici les propositions données :
𝘼 𝙡𝙖 𝙨𝙤𝙧𝙩𝙞𝙚 𝙙𝙚 𝙘𝙚 𝙜𝙧𝙖𝙣𝙙 𝙧𝙖𝙨𝙨𝙚𝙢𝙗𝙡𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙙𝙪 𝙢𝙖𝙧𝙙𝙞 31/05/2022, 𝙫𝙤𝙞𝙘𝙞 𝙙𝙤𝙣𝙘 𝙡𝙚𝙨 𝙨𝙤𝙡𝙪𝙩𝙞𝙤𝙣𝙨 𝙥𝙧𝙤𝙥𝙤𝙨𝙚́𝙚𝙨 :
» 𝙀𝙫𝙚̀𝙣𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩𝙞𝙚𝙡 𝙂𝙤𝙨𝙥𝙚𝙡 𝙖𝙪 𝘾𝙖𝙢𝙚𝙧𝙤𝙪𝙣, 𝙣𝙤𝙪𝙨 𝙩𝙧𝙤𝙪𝙫𝙤𝙣𝙨 𝙙𝙚𝙨 𝙨𝙤𝙡𝙪𝙩𝙞𝙤𝙣𝙨 𝙘𝙤𝙣𝙘𝙧𝙚̀𝙩𝙚𝙨 «
𝙁𝙚́𝙙𝙚́𝙧𝙚𝙧 𝙙𝙚𝙨 𝙥𝙧𝙤𝙛𝙚𝙨𝙨𝙞𝙤𝙣𝙣𝙚𝙡𝙨 𝙘𝙝𝙧𝙚𝙩𝙞𝙚𝙣𝙨 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝘾𝙤𝙢𝙢𝙪𝙣𝙞𝙘𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣, 𝙙𝙪 𝙈𝙖𝙧𝙠𝙚𝙩𝙞𝙣𝙜 𝙚𝙩 𝙙𝙚 𝙡’𝙚́𝙫𝙚̀𝙣𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩𝙞𝙚𝙡 𝙖𝙪𝙩𝙤𝙪𝙧 𝙙’𝙪𝙣𝙚 𝙥𝙡𝙖𝙩𝙚 𝙛𝙤𝙧𝙢𝙚 𝙙𝙚 𝙛𝙤𝙧𝙢𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙙𝙚𝙨 𝙘𝙝𝙧𝙚́𝙩𝙞𝙚𝙣𝙨 𝙖𝙪𝙭 𝙢𝙚́𝙩𝙞𝙚𝙧𝙨 𝙙𝙚 𝙡’𝙚́𝙫𝙚̀𝙣𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩𝙞𝙚𝙡. 𝙇𝙚𝙨 𝙚́𝙫𝙚̀𝙣𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩𝙨 𝙂𝙤𝙨𝙥𝙚𝙡𝙨 𝙣𝙚 𝙙𝙤𝙞𝙫𝙚𝙣𝙩 𝙥𝙖𝙨 𝙚̂𝙩𝙧𝙚 𝙡’𝙖𝙥𝙖𝙣𝙖𝙜𝙚 𝙙’𝙪𝙣𝙚 𝙘𝙤𝙢𝙢𝙪𝙣𝙖𝙪𝙩𝙚́ 𝙘𝙝𝙧𝙚́𝙩𝙞𝙚𝙣𝙣𝙚. 𝙄𝙡 𝙛𝙖𝙪𝙩 𝙡𝙚𝙨 𝙫𝙚𝙣𝙙𝙧𝙚 𝙖𝙪 𝙙𝙚𝙡𝙖̀ 𝙙𝙚 𝙣𝙤𝙨 𝙚́𝙜𝙡𝙞𝙨𝙚𝙨. 𝙇𝙚𝙨 𝙘𝙝𝙖𝙣𝙩𝙧𝙚𝙨 𝙚𝙩 𝙖𝙧𝙩𝙞𝙨𝙩𝙚𝙨 𝙙𝙤𝙞𝙫𝙚𝙣𝙩 𝙨𝙚 𝙘𝙤𝙣𝙘𝙚𝙣𝙩𝙧𝙚𝙧 𝙖𝙪 𝙘𝙝𝙖𝙣𝙩, 𝙡𝙚𝙨 𝙥𝙖𝙨𝙩𝙚𝙪𝙧𝙨 𝙖̀ 𝙡𝙖 𝙥𝙧𝙞𝙚̀𝙧𝙚 𝙚𝙩 𝙘𝙤𝙣𝙛𝙞𝙚𝙧 𝙡𝙚𝙨 𝙚́𝙫𝙚̀𝙣𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩𝙨 𝙖𝙪𝙭 𝙨𝙥𝙚́𝙘𝙞𝙖𝙡𝙞𝙨𝙩𝙚𝙨 𝙛𝙪𝙨𝙨𝙚𝙣𝙩-𝙞𝙡𝙨 « 𝙢𝙤𝙣𝙙𝙖𝙞𝙣𝙨 ».𝙇𝙚𝙨 𝙤𝙧𝙜𝙖𝙣𝙞𝙨𝙖𝙩𝙚𝙪𝙧𝙨 𝙙𝙤𝙞𝙫𝙚𝙣𝙩 𝙨’𝙞𝙣𝙛𝙤𝙧𝙢𝙚𝙧 𝙚𝙩 𝙖𝙫𝙤𝙞𝙧 𝙪𝙣𝙚 𝙗𝙤𝙣𝙣𝙚 𝙘𝙤𝙣𝙣𝙖𝙞𝙨𝙨𝙖𝙣𝙘𝙚 𝙙𝙚𝙨 𝙩𝙚𝙭𝙩𝙚𝙨 𝙦𝙪𝙞 𝙧𝙚́𝙜𝙞𝙨𝙨𝙚𝙣𝙩 𝙡’𝙤𝙧𝙜𝙖𝙣𝙞𝙨𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙙𝙚𝙨 𝙚́𝙫𝙚̀𝙣𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩𝙨 𝙖𝙪 𝘾𝙖𝙢𝙚𝙧𝙤𝙪𝙣.𝙐𝙣 𝙖𝙥𝙥𝙚𝙡 𝙚𝙨𝙩 𝙡𝙖𝙣𝙘𝙚́ 𝙖̀ 𝙥𝙡𝙪𝙨 𝙙𝙚 𝙨𝙤𝙡𝙞𝙙𝙖𝙧𝙞𝙩𝙚́ 𝙖𝙪 𝙢𝙞𝙡𝙞𝙚𝙪 𝙙𝙚𝙨 𝙘𝙝𝙖𝙣𝙩𝙧𝙚𝙨. 𝙇𝙚𝙨 𝙘𝙝𝙖𝙣𝙩𝙧𝙚𝙨 𝙚𝙩 𝙖𝙧𝙩𝙞𝙨𝙩𝙚𝙨 𝙙𝙚𝙫𝙧𝙖𝙞𝙚𝙣𝙩 𝙨𝙚 𝙨𝙤𝙪𝙩𝙚𝙣𝙞𝙧 𝙢𝙪𝙩𝙪𝙚𝙡𝙡𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩. 𝙇’𝙤𝙧𝙜𝙖𝙣𝙞𝙨𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙙’𝙪𝙣 𝙜𝙞𝙜𝙖 𝙘𝙤𝙣𝙘𝙚𝙧𝙩 𝙥𝙖𝙧 𝙙𝙚𝙨 𝙥𝙧𝙤𝙛𝙚𝙨𝙨𝙞𝙤𝙣𝙣𝙚𝙡𝙨 𝙖𝙫𝙚𝙘 𝙙𝙚𝙨 𝙖𝙧𝙩𝙞𝙨𝙩𝙚𝙨 𝙜𝙤𝙨𝙥𝙚𝙡𝙨 𝙡𝙤𝙘𝙖𝙪𝙭 𝙨𝙚𝙧𝙖𝙞𝙩 𝙪𝙣 𝙙𝙚́𝙗𝙪𝙩 𝙙𝙚 𝙨𝙤𝙡𝙪𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙚𝙩 𝙪𝙣𝙚 𝙧𝙚́𝙥𝙤𝙣𝙨𝙚 𝙖̀ 𝙘𝙚𝙪𝙭 𝙦𝙪𝙞 𝙢𝙤𝙦𝙪𝙚𝙣𝙩 𝙡’𝙞𝙣𝙙𝙪𝙨𝙩𝙧𝙞𝙚 𝙙𝙪 𝙂𝙤𝙨𝙥𝙚𝙡 𝙖𝙪 𝘾𝙖𝙢𝙚𝙧𝙤𝙪𝙣. 𝙇𝙖 𝙘𝙧𝙚́𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙙’𝙪𝙣 𝙗𝙪𝙧𝙚𝙖𝙪 𝙘𝙤𝙣𝙨𝙪𝙡𝙩𝙖𝙩𝙞𝙛 𝙖𝙫𝙖𝙣𝙩 𝙘𝙝𝙖𝙦𝙪𝙚 𝙚́𝙫𝙚̀𝙣𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩. 𝘾𝙚 𝙗𝙪𝙧𝙚𝙖𝙪 𝙖𝙪𝙧𝙖 𝙡𝙖 𝙘𝙝𝙖𝙧𝙜𝙚 𝙙’𝙚́𝙩𝙪𝙙𝙞𝙚𝙧 𝙡𝙚 𝙘𝙤𝙣𝙘𝙚𝙥𝙩, 𝙨𝙖 𝙛𝙖𝙞𝙨𝙖𝙗𝙞𝙡𝙞𝙩𝙚́, 𝙡𝙚 𝙗𝙪𝙙𝙜𝙚𝙩 … 𝙇𝙖 𝙘𝙧𝙚́𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙙’𝙪𝙣𝙚 𝙚𝙣𝙩𝙧𝙚𝙥𝙧𝙞𝙨𝙚 𝙚́𝙫𝙚̀𝙣𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩𝙞𝙚𝙡𝙡𝙚 𝙘𝙝𝙧𝙚́𝙩𝙞𝙚𝙣𝙣𝙚.𝙇𝙖 𝙥𝙧𝙤𝙛𝙚𝙨𝙨𝙞𝙤𝙣𝙣𝙖𝙡𝙞𝙨𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙙𝙚 𝙡’𝙞𝙣𝙙𝙪𝙨𝙩𝙧𝙞𝙚 𝙂𝙤𝙨𝙥𝙚𝙡.
𝙉𝙤𝙪𝙨 𝙖𝙫𝙤𝙣𝙨 1(𝙪𝙣) 𝙢𝙤𝙞𝙨 𝙥𝙤𝙪𝙧 𝙖𝙧𝙧𝙚̂𝙩𝙚𝙧 𝙦𝙪𝙚𝙡𝙦𝙪𝙚 𝙘𝙝𝙤𝙨𝙚 𝙙𝙚 𝙥𝙤𝙩𝙖𝙗𝙡𝙚, 𝙙𝙚 𝙘𝙤𝙣𝙘𝙧𝙚T 𝙚𝙩 𝙥𝙖𝙨𝙨𝙚𝙧 𝙙𝙞𝙧𝙚𝙘𝙩𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙖̀ 𝙡’𝙞𝙢𝙥𝙡𝙚́𝙢𝙚𝙣𝙩𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣.

Pour maman Odile Ngaska , il est important de repenser le traitement dédié aux chantres locaux .Voici son message:
Depuis quelques mois, l’arrivée du frère KS Bloom en terre camerounaise fait couler beaucoup d’encre et de salive. Le dénouement honteux de ce qui était censé être une rencontre de louange entre frères dans le Seigneur a pris désormais des allures de séisme avec pour épicentre le procès du gospel camerounais.
À la lecture des analyses des uns et des autres, je conclus que la situation est suffisamment grave pour me sortir du silence.
La vérité c’est que nous savons tous que les problèmes de la musique chrétienne au Cameroun ne datent pas d’aujourd’hui.
L’esclandre qui agite la toile n’est que le brutal réveil des frustrations mal guéries ou enfouies dont est malade cet écosystème déjà fragilisé.
Pour ceux qui pointent du doigt les organisateurs non chrétiens qu’ils qualifient à tort ou à raison de véreux, je dirai tout simplement que la nature a horreur du vide. Ces gens s’installent sur un terrain abandonné par ses propriétaires et dansent sur la musique jouée par ceux qui sont censés encadrer le milieu.
Observez le mépris avec lequel les chantres sont gérés dans nos assemblées. Ils ne sont bons qu’à chanter Dimanche à l’église et lors des sorties d’évangélisation que leurs leaders organisent dans des coins reculés. Leurs propres « pères » les jugent indignes des programmes spéciaux et des croisades internationales.
Ils sont les « enfants chéris » des pasteurs qui débutent mais une fois que le pasteur en question gagne en notoriété à ses propres yeux, les chouchous d’hier qui ont aidé à faire grandir le ministère deviennent des factieux par révélation.
Ces chantres devenus plus loups qu’agneaux se lancent donc à la conquête de reluisantes carrières sur le modèle de ceux pour qui leurs parents spirituels dépensent tant d’argent. Sans repères ni équilibre spirituel, ils deviennent apôtre de la division. À la recherche de reconnaissance et de lumière, ils laissent proliférer la frustration qui plus tard se transforme en haine.
Un tel tableau ne pouvant favoriser une explosion véritable du Saint Esprit, on finit par entendre dire que « Les chantres camerounais ne sont pas profonds. »
Face à l’abandon par les pasteurs, on aurait espéré une prise de conscience des hommes d’affaires chrétiens mais eux aussi, ils sont la propriété du clergé. Ils n’échappent malheureusement pas à l’égoïsme et préfèrent témoigner de leurs grands biens plutôt que d’aider les frères à sortir des boisseaux dans lesquels les divisions et les frustrations les ont jetés.
Il est urgent que l’Eglise du Cameroun se lève pour mettre fin à ces divisons qui ne peuvent que nous conduire à un ridicule bien plus grand que celui que nous laisse le concert de KS Bloom. La réputation de notre corps et de notre nation est déjà suffisamment entachée.
Pour le frère KS Bloom, reconnaissons que c’est un instrument que Dieu utilise pour cette génération et prions qu’il aille encore plus loin.
Je lui demande personnellement pardon pour cette exposition spectaculaire aux odeurs des blessures de notre milieu.
À tous ceux qui ont aidé à l’apaisement de cette situation périlleuse, je dis Merci.
Aux acteurs du Gospel du Cameroun, prenez comme sonnette d’alarme, les situations de ces derniers jours et courez vers l’excellence.
les choses doivent changer et elles ne changeront que si chacun de nous décident de se lever pour améliorer les conditions dans son église, auprès des artistes , de part la prière , en participant aux événements des chantres et en s’impliquant activement dans la mouvance du gospel 237.Pour vous , comment peut on faire pour eviter d’avoir de nouveaux scandales comme ceux du concert de Mercy Chinwo ou KS Bloom?